La Route - Cormac MCCARTHY
L'apocalypse a eu lieu. Le monde est dévasté, couvert de cendres. Un père et son fils errent sur une route, poussant un caddie rempli d'objets hétéroclites et de vieilles couvertures. Ils sont sur leurs gardes car le danger peut surgir à tout moment. Ils affrontent la pluie, la neige, le froid. Et ce qui reste d'une humanité retournée à la barbarie.
Je viens de terminer La Route , et je ne sais pas quoi en penser.
J'ai faillis arrêter au bout de 40 pages, parce que je n'accrochais pas , mais j'ai continué un peu forcée, parce que mine de rien ça se lit d'une traite.
Pas de chapitres, des strophes, des dialogues répétitifs, tout est gris et couvert de cendres, des cadavres partout. L'enfant est terrifié, le père n'est pas très rassuré non plus, mais il continue, pourquoi ? Des cannibales (les méchants) et des gentils.
Mais on est avec eux, on tremble avec eux, on a froid, on est surpris de voir des couleurs quand on sort le nez du livre.
Certains passages, (un en particulier) sont terrifiants.
Bizarrement la fin ne m'a pas touchée plus que ça (je suis un vrai monstre !), on s'attend à quelque chose de ce genre, mais j'ai été surprise, pas pour le sort du père, mais pour ce qui arrive à son fils, je ne pensais vraiment pas à ça !
Le problème quand on lit ce genre de livre qui sont encensés de tous les cotés c'est que l'on s'attend toujours à quelque chose d'extraordinaire, mais là il y avait une grosse attente, et je me suis retrouvée un peu frustrée pendant la lecture et c'est finalement en fermant le livre que l'on se rend compte de sa puissance.
Je viens de terminer La Route , et je ne sais pas quoi en penser.
J'ai faillis arrêter au bout de 40 pages, parce que je n'accrochais pas , mais j'ai continué un peu forcée, parce que mine de rien ça se lit d'une traite.
Pas de chapitres, des strophes, des dialogues répétitifs, tout est gris et couvert de cendres, des cadavres partout. L'enfant est terrifié, le père n'est pas très rassuré non plus, mais il continue, pourquoi ? Des cannibales (les méchants) et des gentils.
Mais on est avec eux, on tremble avec eux, on a froid, on est surpris de voir des couleurs quand on sort le nez du livre.
Certains passages, (un en particulier) sont terrifiants.
Bizarrement la fin ne m'a pas touchée plus que ça (je suis un vrai monstre !), on s'attend à quelque chose de ce genre, mais j'ai été surprise, pas pour le sort du père, mais pour ce qui arrive à son fils, je ne pensais vraiment pas à ça !
Le problème quand on lit ce genre de livre qui sont encensés de tous les cotés c'est que l'on s'attend toujours à quelque chose d'extraordinaire, mais là il y avait une grosse attente, et je me suis retrouvée un peu frustrée pendant la lecture et c'est finalement en fermant le livre que l'on se rend compte de sa puissance.